ARTICLE NOUVELLE REPUBLIQUE
Communication
16 décembre 2021
Pour Laurent Lebigue, dirigeant de Graphic Imprim à Saint-Gervais-la-Forêt, les difficultés d’approvisionnement sont un casse-tête pour l’organisation de travail.
Il y a une vingtaine d’années, nous avions une hausse de 5-6 % tous les trois mois et nous arrivions toujours à négocier avec nos fournisseurs, lance Laurent Lebigue, dirigeant de Graphic Imprim, à Saint-Gervais-la-Forêt. « Aujourd’hui, ce n’est plus possible de négocier : le prix, c’est le prix. Nous avons subi une hausse de 7 % en septembre et de 12 % en novembre, sans compter les précédentes. C’est du jamais vu. »
Les professionnels doivent aussi jongler avec un rallongement des délais d’approvisionnement. Avec forcément des répercussions sur les organisations de travail. « Je ne peux pas avoir sous la main toutes les références de papiers. Nos plannings sont bouleversés tous les matins car il manque tel ou tel produit. C’est fatigant. On perd notre temps, on travaille mal, il ne faudrait pas que ça dure, reconnaît le dirigeant de Graphic Imprim. Les fournisseurs ne nous envoient pas les bonnes références en se disant que ça fera quand même l’affaire… On travaille parfois au ralenti alors qu’il y a du boulot. »
Il y a une vingtaine d’années, nous avions une hausse de 5-6 % tous les trois mois et nous arrivions toujours à négocier avec nos fournisseurs, lance Laurent Lebigue, dirigeant de Graphic Imprim, à Saint-Gervais-la-Forêt. « Aujourd’hui, ce n’est plus possible de négocier : le prix, c’est le prix. Nous avons subi une hausse de 7 % en septembre et de 12 % en novembre, sans compter les précédentes. C’est du jamais vu. »
Les professionnels doivent aussi jongler avec un rallongement des délais d’approvisionnement. Avec forcément des répercussions sur les organisations de travail. « Je ne peux pas avoir sous la main toutes les références de papiers. Nos plannings sont bouleversés tous les matins car il manque tel ou tel produit. C’est fatigant. On perd notre temps, on travaille mal, il ne faudrait pas que ça dure, reconnaît le dirigeant de Graphic Imprim. Les fournisseurs ne nous envoient pas les bonnes références en se disant que ça fera quand même l’affaire… On travaille parfois au ralenti alors qu’il y a du boulot. »
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